Comme je voulais obtenir une régulation par le (+) et non côté masse, pour un tas de raisons, comme par exemple pour éviter des bouclages par la prise de terre du réseau entre l'alim et les sondes de l'oscillo, je devais intercaler le MOSFET coté positif. Et de plus je voulais utiliser un MOSFET canal N. (les MOSFETS canal P, facile à utiliser dans une telle configuration, ont à prix égal une résistance à l'état passant R(d-s)on beaucoup plus grande) Oui mais un tel montage conduit à ne pas pouvoir saturer correctement le transistor si on utilise une liaison directe entre les CI logiques et sa gate. On peut concevoir un multiplicateur de tension, qui permet d'alimenter la gate par un potentiel supérieur à celui délivré par le transfo d'alim. ( J'ai d'ailleurs utilisé ce principe pour le variateur brushless). Ici j'ai préféré employer un petit transfo de ligne de rapport 1/1 qui permet d'assurer une saturation correcte de l'IRFZ44 par une tension flottante par rapport à la masse, mais référencée par rapport à la source du MOSFET. Entre autres avantages, celui d'assurer le blocage du MOSFET en cas de disparition des signaux de commande issus des étages de commande (suite à une défaillance éventuelle dans ces étages...) Pour le reste, rien que du classique. J'ai n'ai utilisé volontairement que des composants classiques, aux fonctions bien définies, ce qui rend le montage didactique. J'ai en particulier fait l'impasse sur les circuits intégrés spécialisés qui assurent toutes ces fonctions d'une manière très efficace mais pas toujours très claire pour le profane. On trouvera donc pour l'essentiel :